Nouveauté : Mona lisa touch
L’établissement Rennais du Sein s’équipe du laser Mona Lisa Touch pour traiter les troubles vulvo-vaginaux et les suites de cancer du sein.
Le laser démontre un regain de tonicité, d’élasticité et de fermeté à la suite d’une procédure peu invasive, sans douleur, sans anesthésie et sans médicaments et ce pour différents symptômes, à différents moments de la vie d’une femme.
Le laser vaginal comme solution suite à un cancer du sein.
En effet, chez les patientes atteintes de cancer du sein il est habituel de trouver une carence estrogénique. Cette carence dû aux traitements de la chimiothérapieTraitement médicamenteux anticancéreux More, par l’arrêt d’un THS en cours, ou bien par l’ovariectomie. Les risques multipliés représentent alors une gêne qui n’est que peu résolu par les traitements thérapeutiques disponibles aujourd’hui. D’autant qu’il n’est pas possible de proposer une hormonothérapie de substitution estro ou estro-progestative.
Le traitement par laser semble alors être la solution peu invasive, non médicamenteuse et sans douleurs pour traiter les symptômes dû au manque d’estrogènes.
Il agit sur la muqueuse qui est « en repos métabolique », et plus particulièrement sur les fibroblastes qui étaient producteurs actifs d’acide hyaluronique. C’est ce repos métabolique qui entraîne les symptômes de sécheresse de la muqueuse, de moindre vascularisation et de fragilité pouvant entraîner plus d’infections. C’est donc également sur ces fibroblastes qu’il nous faut agir pour retrouver un équilibre et calmer les gênes.
Le laser Mona Lisa Touch permet alors de réactiver par son process la synthèse de collagène et d’acide hyaluronique. Son action stimulante va permettre de reformer des tissus sains et jeunes.
Cela permet, après 3 séances au cabinet de gynécologie de l’Etablissement Rennais du sein,de trouver hydratation, élasticité et vascularisation de la muqueuse.
Un laser – Mona Lisa Touch – comme solution contre l’atrophie vaginale
Durant la pré-ménopause, la ménopause, le laser est une solution nouvelle qui permettrait de réduire considérablement les troubles vulvo-vaginaux. Comme les sensations de brûlures, de sécheresse, d’incontinence. 75% des femmes qui souffrent d’atrophie vaginale considèrent que cela influe de façon négative sur leur vie. Peu d’entre elles d’ailleurs consultent un gynécologue pour résoudre ce symptôme chronique et bien connu.
Sans effets secondaires, les 3 séances recommandées pour le traitement au laser ne sont pas remboursées par la sécurité sociale. Le laser représente cependant une avancée majeure pour la qualité de vie des femmes. Des femmes qui souffrent ou ont souffert de cancer du sein. C’est également la solution pour de nombreuses femmes qui souhaiteraient retrouver leur féminité intime à la suite d’un accouchement, ou lors de la ménopause.
Témoignage patiente :
« Ménopausée, je cherchais une solution à tous les problèmes liées à cette dernière. Les bouffées de chaleur réglées ainsi que le côté dépressif. Il me restait le côté intime (sécheresses vaginales, envies d’uriner fréquentes voire très fréquentes ainsi qu’un sentiment de pression sur le bas ventre). Certes, les lubrifiants améliorent légèrement… Mon gynécologue me parle d’une méthode au laser qui était destinée à améliorer le côté intime. Après une visite gynécologique pour voir si j’étais éligible, me voilà rendue à mon premier, deuxième puis troisième rendez-vous à un mois d’intervalle. Un résultat dès la première séance au dessus de mes attentes dans la mesure où je n’ai plus d’envies subites d’uriner, la sensation de pression envolée et le sentiment d’avoir retrouver une lubrification normale… Qu’il est bon de se sentir de nouveau bien dans son intimité. »
Pour toute demande d’information ou prise de rendez-vous auprès de nos gynécologues, contactez l’Etablissement Rennais du Sein. En savoir plus sur le site internet.
Pour prendre rendez-vous sur doctolib avec nos gynécologues :
https://www.doctolib.fr/gynecologue-obstetricien/rennes/sophie-lorand-rennes
https://www.doctolib.fr/gynecologue-obstetricien/saint-gregoire/francois-d-halluin